Randonnée de Maxou
Randonnée de Maxou 02/03/2020
C’est par un temps changeant que 11 blaireaux ont crapahuté autour de Maxou.
De la pluie, du soleil; peut-être plus de temps clair que de pluie mais, par contre, quand il pleuvait cela ne faisait pas semblant (grésil, vent …)
Autrement, prés inondés, chemin boueux, flaque d’eau, tel fut le menu qui a accompagné les 9 km de rando de ce lundi après midi.
Ici le diaporama du jour et le lien pour les photos de Ch. Laporte
et la vue interactive de la trace GPX de Maxou
Dès le départ de la randonnée une petite giboulée est venue tester la motivation des 6 marcheurs! Après une montée assez raide dans les bois de Bégoux, nous avons découvert une belle et grande Gariotte, puis un sentier agréable nous a mené vers Arcambal en passant sous l’autoroute. Le retour sur Begoux s’est effectué le long du Lot avec le vent de face, nous nous sommes arrêtés pour la pause « goûter » à l’écluse d’Arcambal. La végétation en sommeil nous a permis d’apprécier la vue sur le Lot. La fin du parcours s’est effectuée sous une petite giboulée mais ventée! Nous avons parcouru 12,9km pour un dénivelé de 250m. Nous avons passé un bon moment de convivialité et finalement la pluie n’a été que de courte durée. 
8 courageux Montapattes ont bravé une pluie continuelle sur Caniac-du-Causse ; toute la matinée nous avons parcouru les jolis chemins de cette commune, suivant Jean-Pierre le maire du lieu, 12 kilomètres plus loin, nous rejoignons la salle des fêtes, mise à notre disposition par Jean-Pierre, nous avons mangé bien à l’abri après ce déluge mouillé ; ensuite, reprise de notre journée par un périple sur la Braunhie, où nous avons cueilli des fleurs (jonquilles) dans des cloups au milieu des bois, visite de l’igue de Planagrèze, puis d’un très beau dolmen à proximité, ce fut une très belle journée (au niveau convivialité et à la découverte d’un charment et très joli village), merci au maire de ce village et à la présence des participants. 
Partis à 49 Montapattes de La Rozière, nous avons terminé à 50 marcheurs par le prompt renfort de Martine prise au passage. Ce circuit de 12km emprunte plusieurs pistes de randonnées précédentes, il nous balade de plateaux en fonds de vallée sur des chemins de sous-bois et des sentiers étroits pierreux. Nous trouvons sur notre chemin, un peu de patrimoine avec les gariottes, lavoirs et quelques vieilles maisons en ruine perdues dans la colline et surtout un patrimoine local bien particulier, perché dans les arbres, prêt à lancer un caillou dans les flaques au passage de ces dames (j’ai nommé notre cher Gilles) . Tout cela pour nous faire oublier les 3 montées du programme.
Le soleil est enfin revenu… les Montapattes sont ressortis aussi. 
Nous étions 7 courageux à Arcambal sur un circuit d’environ 9km 500 avec un peu de bruine sur les 500 premiers mètres 
Nous… les 15 blaireaux, venus randonner ce lundi parés de parapluies et vêtements de pluie à Laroque des arcs devenu Bellefont la Rauze, avons eu le plaisir de ne pas avoir une goutte d’eau sur notre parcours d’environ 10km.
C’est à partir de la halle de Tréspoux que les 39 Montapattes ont démarré la balade de 11,8km sous une température aussi radieuse que le soleil. D’abord un petit gymkhana au travers des vignes et une première descente en zig zag sur un versant désertique et pierreux où nous dénichons quand même une belle gariotte, puis nous prenons un long chemin toujours en descente à travers bois et pré jusqu’au fond de la combe en direction de la route de Toulouse. Enfin le moment où ça remonte …. Hum …hum!! par la route d’abord nous rejoignons la rozière et les Mathieux pour ensuite nous aventurer sur des chemins et des sentiers dans un bois de pin, un peu en hors piste. Et voilà le dernier effort.. un grand dénivelé que nous aurions pu descendre en ski, mais même sans skis la glisse était là.
Nous étions 14 courageux a avoir bravé la météo peu favorable du jour , nous avons passé la moitié de la rando sans une goutte de pluie mais la suite a été plus humide mais n’a pas entamé le moral du groupe . Le pas fut plus rapide et les parapluies sont sortis des sacs, le terrain du Quercy blanc bien qu’humide ne fut pas forcement amoureux de nos chaussures. Sur le circuit nous avons retrouvé l’ancien lavoir et un petit détour par l’église de St cevet, mais pas de nouveau converti.